4POdf05 CHATELAIN LUNDIN PEUR
1. Définition de l’émotion
La peur est de l’ordre de l’affectif, la peur qu’à un individu est une émotion. Elle peut être caractérisé en un épisode qui a une emprise sur soi. Cet épisode est de courte durée. Lorsque nous parlons de l’affectif, il est bon de séparer un épisode : la peur, de la disposition affective qui se base sur la nature d’un caractère ainsi qu’un sentiment : peureux( qui est également en soi une émotion mais de longue durée) . La peur peut se traduire ainsi en : peureux. En impliquant plusieurs sorties comme le tempérament (une personne peureuse) et un sentiment auquel un objet y est associé : l’objet de la peur. Cet épisode qu’est la peur peut être vu comme négatif dans certaines situations : peur irrationnel, figé de stupeur. Mais elle peut être utile (positif) si l’on parle de survie car la peur est enfaite une préparation à la fuite maintenant faut-il que la fuite se manifeste de la bonne manière pour assurer la survie. La peur fait partie de notre conscient, car elle se base sur un vécu ou une expérience plus une intentionnalité. Avoir peur est un ressentiment, le simple fait de ressentir permet de l’associé au vécu. L’intentionnalité lorsqu’on a peur se traduit comme suivant : je me considère en tant que moi, individu, qui a une activité, celle de penser, ainsi je pense forcément à quelque choses. Ce quelque chose lorsque j’ai peur est l’objet auquel je vais penser et en l’associant à mon vécu va provoquer en moi la peur pendant une durée (interrompue, courte). Il est possible d’essayer de penser à quelque chose d’autre pour atténuer la peur seulement il n’est pas facile voir très difficile de sortir d’un état de peur volontairement (en la métrisant) car quand on a peur notre esprit est justement « occupé » par l’objet de notre peur, Descartes dit : « les sentiments prennent le contrôle sur le cerveau ».
La peur peut avoir plusieurs objets (formel), effectivement une personne peut avoir peur des profondeurs abyssales des