Bien sur la liberté de voyage.

Notre premier document allemand que recevraient dans la préfecture de police à la place d'Alessandro en 1990, était un permis de séjour de l'Allemagne de l'Est. A notre vieux rêve, au droit sur la liberté de voyage, nous n'étions pas venus plus proc,hement ainsi. Egalement (tout de suite) sur la première page (côté) du document se trouvait : "ce permis de séjour est à passer à quittant la république démocratique allemande au poste compétent de la police de peuple ou l'organe de contrôle frontière. En effet jusqu'au 30.08.2000." Alors, nous ne projetions aussi seulement une fois aucun grand voyage, nous étions joyeux d'avoir reçu donc un document. Cependant, cela nous permettait s'asseoir silencieusement dans notre foyer d'étranger dans Marzahn et faire la connaissance des sortes de bière allemandes. On ne peut plus en Union Soviétique, mais tout à fait ailleurs était, une grande joie. J'avais déjà essayé aussi avant de quitter l'Union Soviétique sous l'un ou autre (différent) prétexte de prendre le large donc. Mais mes intentions avaient échoué tous ensemble. En 1986 j'avais, par exemple, une meilleure amie de ma mère qui s'était mariée avec un Allemand et vivait à Berlin, une invitation dans toi la RDA reçoivent. [...] Deux jours plus tard, nous nous trouvions en suant sur le tapis devant la commission KIF. Elle existait (se composait) de quatre vieilles femmes et un lourd infirme qui me regardait (me croyait) avec méfiance. Le sens de la conversation consistait à découvrir pourquoi je voulais donc aller en RDA et si j'étais déjà assez mûr fût un tel voyage. Nous nous mentions mutuellement. Les dames du KIF faisaient ainsi, comme s'ils ne savaient pas, vraiment, pourquoi je voulais aller en RDA. Et je faisais ainsi, comme si je ne savais pas de nouveau cela. "Je voudrais faire la connaissance du quotidien socialiste de nos frères en RDA et les curiosités de Berlin et échanger, en outre, des