Amélie nothomb stupeurs et tremblements
» (page 74) Ce passage viens se contredire quelques pages plus loin. Le travail est très important dans la culture Nippone, et plus tu occupes un poste important plus tu seras respecté dans la société. Une femme pas mariée à vingt-cinq devrait avoir honte, mais une femme pas mariée à vingt-neuf ans, avec un poste important devrait avoir honte aussi. Les problèmes de Fubuki viennent particulièrement toucher Amélie, car elle s’oppose aux coutumes japonaises, en plus d’être la seule femme en plus de mademoiselle Mori dans leur département. Pour finir, Amélie-San a également atteint un objectif de sa quête identitaire en tant qu’écrivaine, car elle possède un talent très significatif pour l’écriture. Tout au long du roman, l’auteure vient incorporer au texte des éléments …afficher plus de contenu…
Je regardai mon corps tomber. » (page 141) Cette image est un moment de défenestration que vit l’auteure, et celui-ci est particulièrement important pour elle, car ça sera la toute dernière fois qu’elle contempla la ville du haut du quarante-quatrième étage. Pour donner suite à cette évènement, Amélie Nothomb commença à écrire plusieurs manuscrits et à publier plusieurs romans en Europe, dans son pays d’origine : la Belgique. Pour conclure, il est vrai qu’Amélie a su venir à bout de sa quête identitaire. Elle a non seulement été capable de dépasser ses buts, mais elle l’a fait en développant plusieurs objectifs en tant qu’individu, en tant que femme et en tant qu’écrivaine. Sans nécessairement