Analyse de pratique
Situation n°1 :

Lieu : Dans la chambre d’une patiente (madame B)

Situation ou activité vue ou réalisée :
Ce matin, je vais dans la chambre de madame B pour procéder à l’explication du premier bain de son bébé (Noah).
Je prépare donc l’eau du bain, et les accessoires utiles pour le bain et l’habillage de Noah.
Je déshabille le bébé. En enlevant sa couche, je vois que celle-ci est plein de méconium. Je lui lave donc les fesses avec de l’eau et du coton avant de lui donner le bain.
Ensuite, je procède au bain, et fais les soins de cordons (tout en expliquant comment faire à la nouvelle maman).
Une fois le nourrisson lavé et habillé, je demande à madame B si elle a des questions particulières concernant le bain ou autre, car le lendemain, c’est elle qui procédera au bain de son enfant, avec l’aide si besoin, d’une Auxiliaire Puéricultrice).
A ce moment là, elle sort de son armoire une multitude de crèmes et lingettes en tout genre distribuées par la maternité et également apportées par ses soins, en me demandant si elle peut les utiliser pour Noah.

Observations, étonnements :
Les Sages-femmes et Auxiliaires Puéricultrice m’ont appris qu’il fallait mettre le moins de produits possibles sur la peau d’un nouveau né, car après la naissance, les défenses naturelles de la peau du bébé n’ont pas achevées leur développement, ce qui fait que celle-ci est particulièrement fragile.
Après des recherches personnelles, j’apprends que des études scientifiques tendent à démontrer la responsabilité de certaines substances chimiques dans le développement croissant des cas d’allergies, de maladies du système nerveux, du système hormonal et de cancers. Les produits cosmétiques (pour bébés également) ne sont pas soumis à une autorisation de mise sur le marché. Les fabricants sont simplement tenus de respecter une liste élaborée par les autorités sanitaires, interdisant l’utilisation de certaines substances chimiques, testées individuellement et jugées