Analyse D
Spécialité du service concerné : Soin de suite et rééducation
Description de la situation rencontrée :
Lors de mon arrivée, j’ai pris en charge dans leurs globalités huit patients. Parmi ces patients, j’avais des injections d’anticoagulants en sous cutanée a réalisé lors du tour du matin pour Mr D, 67 ans, entrée pour pontage du membre inférieur droit. La première fois que je devais réaliser ce soin, j’avais demandé à chaque collègue de me montrer comment réaliser la préparation. Cet anticoagulant de Calciparine® (héparine non fractionnée) sous forme de fiole n’était pas toute prêt à injecter et elle devait être réalisée le matin et le soir. Alors la fois suivante, accompagné d’un autre collègue, je réalisais la préparation, comme je pensais avoir appris depuis le début de ma formation, et qui semblait correspondre à la pratique soignante. En effet, chaque soignant avait sa façon de faire mais toujours de façon à respecter les principes d’un soin de qualité. Les seules différences, c’est que certains gardaient une bulle d’aire d’autre pas. Certains piquaient à 90° degrés d’autre à 45° degrés. Certains favorisaient des sites d’injections voir un reflux.
Je vérifiais la prescription médicale et l’ampoule d’anticoagulant. Tout d’abord, je commençai à réaliser la préparation en prélevant le produit à l’aide de mon trocart. Je plaçais mon aiguille de sous cutanée en chassant l’air de la seringue puis en gardant la quantité a injecté à Mr D. Je prenais mon plateau avec ma boite OPCT, mes compresses stériles, mes gants à usage unique, de l’alcool et ma bouteille Pocket de solution hydro alcoolique. Enfin, je me présentais au patient et lui indiquais que j’allais faire son injection d’anticoagulant. Il était couché dans son lit. Je réalisais ma friction hydro alcoolique puis enfilais mes gants. Je réalisais l’injection, en réalisant un pli cutané au niveau de l’abdomen à 45°, car il avait un pansement au niveau de sa cuisse droite. Tout