Développement
Tout d’abord, le personnage de Macloune considéré différent, en grande partie parce qu’il est malheureusement mal nanti dès la naissance. Immédiatement au début du texte, le lecteur peu comprendre qu’il y a certains éléments qui marque sa dissimilitude par une extrême laideur physique. Il est décrit comme un personnage qui « était né et qui avait grandi dans la plus profonde et respectable misère » (l.7). Le garçon est aussi qualifié comme étant un « monstre » (l.15) tellement il est laid. Son corps est décrit par plusieurs adjectifs à valeur péjorative, par exemple : « malingre » (l.16), « tordu-bossu » (l.19 » et « chétif » (l.36) » pour mettre l’emphase sur ses nombreux défauts. Par contre, au cours de l’histoire, sa personnalité ressort des préjugés par l’utilisation de qualités comme « bon » (l.33) et « travaillant » (l.61). Ces qualificatifs démontrent qu’à travers sa malchance et les sorts qui on pu lui être jetés, Macloune est prêt a tout pour venir en aide à ceux qu’il aime.

Ensuite, un aspect important de l’exclusion de Macloune est sa relation avec les autres et comment ils le perçoivent. Malgré son apparence les individus de son village on apprit à l’accepter pour sa bonté et sa personnalité attachante. Cependant, son entourage porte quand même une certain jugement sur ce qu’il peu et ne peu faire en raison de son physique et de ces capacités intellectuelles. Une des principales démonstrations de ce jugement est par le curé. Dès le jeune âge du personnage principal, le représentant religieux du village lui refuse sa première communion avant « l’âge de treize ou quatorze ans » (l.65). Ceci démontre que malgré l’acceptation par son milieu, Macloune est resté sous-estimé d’une certaine manière. Le thème de l’interdiction est encore plus important lorsque le curé interdit à Macloune d’épouser celle qu’il aime, Marichette Joyelle de Contrecœur. La réaction du jeune homme est caractérisé par celle: «d’un chien fidèle qui se voit