Ane et la flute
I. Question sur corpus
Intro :
Ces trois textes sont des fables. Le texte un est une fable le Jean de la Fontaine extraite du livre VII publié en 1678, Les deux coqs, ce texte est écrits en vers on trouve des passages en ’alexandrin (12vers) et en octosyllabes (8vers). Les rîmes sont croisé du type « ABAB » et embrassées « ABBA ». Cette fable parle de deux coqs et d’une poule qui arrive, suite a cette arrivé la guerre entre les deux coqs commence. Le texte deux est une fable de Fénelon extraite de fables et opuscules pédagogiques publié en 1718, Le pigeon puni de son inquiétude, cette fable est écrite en prose elle ne comporte donc ni vers ni rimes. Cette fable parle de ce que font deux pigeons, quand un des deux pigeons déicide de partir dans une autre contrée mais rien ne ce passe comme il l’avait prévu. Le troisième texte est une fable de Jean-Pierre Claris de Florian publié en 1792, L’âne et la flute. Cette fable est écrite en vers. On trouve des octosyllabes (8vers), des alexandrins (12vers) ainsi que des décasyllabes. Les rimes sont croisées et embrassées. A l’aide de ces trois textes nous exprimerons avec nos propres mots les morales de ces fables ainsi que les procédés qui facilitent la compréhension du message que veulent faire passer chacun des auteurs.
Question 1 :
Texte 1 moral tel quelle est : La fortune se plaît à faire des ces coups tout vainqueur insolent à sa perte travaille. Défions-nous du sort, et prenons garde à nous. Après le gain d’une bataille.
Par nos propres mots : Il ne faut pas se venger, la vie le fait elle-même. Quand l’on gagne vaut mieux se taire, sinon nous risquons que la situation se retourne.
Texte 2
Par nos propres mots : Rien ne vaut de rester dans son tendre logis plutôt que de partir dans un endroit inconnus et dans un monde que l’on ne connaît pas.
Texte 3 moral tel quelle est : Les sots sont un peuple nombreux trouvant toutes choses faciles : il faut le leur passer, souvent