biologie
Texte :
Ayant toujours été régulière et constatant qu’elle n’avait pas eu de menstruation ce mois-ci, Sophie, une femme de 32 ans, décida de passer un test de grossesse.( peut démontrer les hormones présentes dans le sang en lien avec le cycle ovarien de la femme )Découragé de la réponse positive ( ovule a été fécondé ) de ce dernier, son conjoint alla prendre un rendez-vous pour une vasectomie. Avec déjà deux jeunes garçons et la venue d’un troisième bébé, il considéra que sa famille était maintenant complète. Toutefois, toutes ses appréhensions concernant l’arrivée de ce nouveau membre de la famille disparurent au début du deuxième trimestre de grossesse de sa conjointe, lorsqu’à l’échographie il apprit qu’elle attendait une fille. De plus, contrairement aux deux premières grossesses, Sophie n’eut aucune nausée durant cette période. Ce n’est qu’au dernier trimètre qu’elle a ressenti quelques inconforts : un gain de poids qui gêna ses mouvements, une lordose légère et un nerf sciatique qui lui faisait quelque peu souffrir lorsqu’elle marchait de grande distance.
Une nuit durant sa 40e semaine de grossesse, Sophie se réveilla en contraction et constata que son lit était trempé. Elle avait perdu ses eaux. À son arrivée à l’hôpital, on lui confirma que le travail était bien entamé puisqu’elle était déjà dilatée à 6 cm ( declenchement du travail. )Deux heures plus tard, Camille, leur petite fille voyait le jour. Étant son troisième enfant, le tout s’est déroulé trop rapidement pour que Sophie puisse recevoir l’épidural qu’elle avait demandé. Par conséquent, elle considère ce troisième accouchement comme ayant été le plus rapide, mais également le plus douloureux. Pendant que le médecin vérifie si le placenta est complet, Sophie regarde sa