Charlotte, ma soeur
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Charlotte, ma soeur est une pièce par Marie Laberge qui continue l’histoire des deux soeurs Charlotte et Aurélie et la fille de Charlotte, La Chatte. Cette pièce, par contre, est plus centralisée au sujet de la réunion des deux soeurs qui ne se voyaient pas pendant trente-cinq ans. Charlotte habite en Italie avec Leïla, une femme qu’elle donne le sanctuaire. Elle est sculptrice et artiste. Quand Aurélie vient en Italie pour voir
Charlotte, elle est en train de sculpter sa dernière oeuvre mais Charlotte est bloquée par un problème inconnu. À la fin de la pièce elle finit son oeuvre grâce à sa libération de son problème. Il se pourrait que son problème en finissant son oeuvre soit à cause de ses sentiments vers La Chatte car à la fin de la pièce on voit que toutes ses oeuvres ont un peu de ses caractéristiques.
Quand Aurélie vient en Italie, elle rendre visite à Charlotte chaque jour à la fin de la journée. Pendant qu’elle lui écrivait elle choisissait d’écrire à la soir. Donc, Charlotte commence son travail dès que l’aube. Lorsqu’Aurélie vient, les deux soeurs tombent toujours sur le sujet de leur père et de la fille. Charlotte est la vraie mère de La Chatte, mais Aurélie l’a élevée. Donc, Aurélie en parle avec sa soeur. Elle lui donne de ses nouvelles, parle de son enfance et de ses sentiments d’avoir eu une fille de son père.
CHARLOTTE, MA SOEUR
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«T’es plus leur grand-mère que moi, Aurélie. C’est logique : t’as été plus mère que moi avec leur mère. Tout est à sa place de même.» (p. 66). Charlotte parle de ses petitsenfants. Parce qu’elle est partie tout de suite pour Italie après l’accouchement de sa fille, Aurélie était toujours là pour elle et en suite pour ses enfants. Et donc, Charlotte ne se sent pas comme ni la grand-mère ni la mère, mais elle n’est pas troublée par la fait qu’elle ne soit pas partie de la vie de sa fille ou ses petits-enfants. Elle trouve réconfort chez les filles qu’elle