Commentaire composé marivaux, acte ii scène 10 les fausses confidences
Les fausses confidences de Marivaux est une pièce du XVIII siècle, appelé siècle des Lumière grâce aux grands phylosophes qui ont animé ce ce siècle. Cette comédie de 1737 rapporte une histoire d'amour entre Dorante un pauvre intendant et d'Araminte une veuve bourgeoise. Le valet Dubois met en scène plusieurs stratagème pour qu'Araminte assume et avoue ses sentiments pour Dorante. Dans la scène étudiée, il est question d'un tableau que Dubois veut faire enlevé, car selon lui ce n'est pas décent que Dorante est un sa possession un tableau d'Araminte, ce qui provoque une dispute entre lui et le deuxième valet, Arlequin. Il faut donc d'abord démontrer que cette dispute a un enjeu important dans l'avancement de l'action, que c'est une nouvelle ruse créée par Dubois, qu'il est necessaire de la rendre publique pour réussir et qu'Arlequin n'est qu'un objet utlisé par Dubois pour atteindre son but. Il faudra ensuite étudier le comportement de deux personnages dont les buts sont bien différents, Dubois qui met en place un double-jeu, pour faire douter Araminte, et cette dernière qui essaye de nier la vérité.
La scène commence avec une nouvelle ruse de Dubois, cette dernière est une dispute entre Arlaquin et Dubois. L'emportement d'Arlequin est fiable, alors que celui de Dubois n'est qu'une mise en scène très vite découverte par le public et Araminte, qui eux connaîssent un caractère plus calculateur et manipulateur qu'impétueux et spontané.
En rendant la dispute publique, Dubois met en place un système de double énonciation. En effet, le véritable enjeu de cette dispute ne peut pas étre comprit par Mme Argante, ni par Marton qui, en observant la scène ne voyent qu'une simple dispute qui ne semble conserner que les deux valets. De leur point de vue, on peut pensé qu'il ne s'agit que d'un rapport de force, un conflit pour savoir lequel des deux hommes a le plus d'influence auprès