Commentaire enfance nathalie sarraute
Ainsi, dans une première partie, on étudiera l’écriture impressionniste spécifique de l’auteure.
Puis, dans une seconde partie, on analysera, la précision du souvenir dans les marques de dénonciation.
A présent, on va modaliser plus particulièrement l’écriture impressionniste, voire picturale de Nathalie Sarraute Nathalie Sarraute est confronté aux défaillances de sa mémoire. Mais elle essaye tant bien que mal de se rappeler de chaque détail, comme nous l’indique la ponctuation récurrente des points de suspension. Nous les retrouvons tout au long du texte. Cela nous montre une réflexion en action d’une mémoire incertaine fondée sur la captation des moments ineffables. Cela nous révèle aussi une technique d’écriture impressionniste qui est spécifique et caractérise l’auteure. En effet, dans ce texte Nathalie Sarraute évoque une réalité concrète d’une façon détaillée : « J’essuie ma plume sur un petit carré de feutre, je la trempe dans le flacon d’encre noire, je recouvre en faisant très attention… ».Grâce à ces descriptions, nous arrivons à imaginer cette petite fille sur sa table de travail, qui essaye à nouveau à écrire. Pour ce fait, Nathalie Sarraute choisi d’alterner le présent de l’indicatif, le passé composé ainsi que le futur.
Dans le premier paragraphe, les formes verbales présentent sont ; le passé composé et l’imparfait, tel que « je n’ai gardé » (L.1) et « je ne comprenais » (L.3). Grâce à ces formes, l’auteure évoque ses souvenirs de son « passage assez bref au cours Bréhant » (L.1), tout en donnant, près de nous, l’impression de la présence de la personne qui parle. Dans le deuxième et troisième paragraphe, nous retrouvons comme forme verbale récurrente, le présent de