Compte rendu de La métisse
Par
Stefanie Lavich
Université de Saint-Boniface
Le 25 septembre 2014
Joseph Lebel, connu sousavec le pseudonyme de Jean Féron, est née à Brunswick, près de Massachussetts au Main auxen États-Unis. Comme enfant, il étudie au Québec et lorsqu’il se rend aux études post-secondaires, il se lance dans plusieurs filièresmétiers et finit par obtenir une majeure en dont le dernier s’agit de la sciences et de la en politique à l’Université de McGill. Encore dans ces vingtaines, Féron s’installe dans la province de la Saskatchewan. Pendant plusieurs années, Féron, étant écrivain, publie plus d’une trentaine de romans historiques en collaboration avec la maison d’édition Garand. L’une de ses œuvres met en perspective la vie des Métis au début du vingtième siècle. La Métisse est un roman narratif tragique qui raconte l’histoire d’une femme mMétisse, Héraldine Lecours, qui travaille comme domestique danssur la ferme d’un Écossais. Elle se dévoue à la religion catholique et à la langue française, deux aspects très importants dans sa vie qu’elle essaie de transmettre cette importance dans l’éducationaux de deux jeunes enfants dont elle a la chargequ’elle a été embauché de soigner. Ces jeunes, sans mère, lui donne tellement de joie qu’elle les aime tout comme s’ils étaient ses propres enfantsà elle,. maisCependant, MacSon, le maître de la maison,l’homme Écossais d’origine, était une vraie brute qui etéprouvait envahit deune haine viscérale à l’encontre envers ldes Métis. Il infligepose à Héraldine une souffrance qu’elle doit endurer pour protéger l’héritage francophone a patrie des enfants. L’amour que la Métisse a enversnourrit pour les enfants constitue estun aspect très important dans le roman. De même,en relation, on constate trouvequ’Héraldine valorise la langue française maternelle du françaiset la foi chrétienne que les jeunes tiennent possèdent et aussi lade leur défunte mère foi que leur mère