consomation SES
Depuis quelques années, et singulièrement depuis que la crise s'est installée dans notre quotidien, on évoque l'idée de «consommer mieux». Pour certains, il s'agirait d'un impératif pour sauver la planète. Pour d'autres, cette nouvelle façon de consommer serait une opportunité pour relancer l'innovation dans de nombreux secteurs. Pour d'autres encore, cela serait une façon d'augmenter la qualité de vie des citoyens... Mais que signifie au juste ce «consommer mieux»? Est-ce consommer «moins», comme on le dit parfois? Est-ce consommer «moins cher»? Et quelles sont les entraves à cette meilleure consommation ? Nous nous concentrerons d’abord sur les réalités à laquelle se heurte cette tendance, puis enfin nous analyserons les différent moyen mis en place pour consommer moins mais mieux.
Il est vrai que cette idée dite citoyenne et responsable est une bonne alternative pour la croissance en ces temps de crise. Toutefois il existe des obstacles, des entraves, et des impasses à cette nouvelle consommation. Tout d’abord les ménages à revenu faible n’ont pas forcément assez de capital pour adoptées des modes de consommation durable mais fatalement plus chère. En effet ; d’après un sondage de l’INSEE, les ordinateur de la marques Toshiba (la moins chère du marché français) vendu en moyenne a moins de 246€ sont achetés à 47% par des ménages en dessous du seuil de pauvreté, de plus sur une durée de vie de 7 ans seulement 37% des Toshiba fonctionne encore. Ce triste exemple montre bien que malgré un prix plus abordable la qualité est et restera un facteur déterminant du cout. A cela vient s’ajouter un problème éthique ; la société de consommation mondialisé nous pousse à acheté des produits au prix les plus alléchant, sans se soucier que ses biens fabriquer a l’autre bout du monde, et qui voyage par millions dans des conteneur jusque au port de Rotterdam ou il seront redistribué dans toute l’Europe. Alors que ces produit on leurs