Contre l'architecture franco la cecla
Dans ce livre, l’auteur nous raconte ce pourquoi.
Pourquoi après avoir lu le livre d ‘Orhan Pamuk, il n’a plus voulu devenir architecte.
Dans son livre celui ci raconte comment il a du se débrouiller pour trouver un logement dans le quartier de Galata et est tombé sur de grandes demeures d’artisans ou de marchands, réhabilitées pour devenir des maisons a vivre de tous les jours. En somme, la vie de tous les jours vivant dans des espaces conçues pour d’autres histoires.
Il se rend alors compte que l’architecte ignore tout de l’essence narrative
D’un espace, trop de construction qui n’ont pas de sens, alors il préfère se tourner vers l’écriture.
« Mieux vaut écrire, car les espaces ne sont pas immuables, ils varient… »
Franco la Cecla, voit après lecture de cet essai, que l’écriture est plus adaptée pour raconter la ville, elle n’invente rien, raconte comment vivent les gens (l’esprit du lieu), individuellement ou collectivement, la liaison entre les lieux, et leur évolution.
Le point le plus important sur lequel l’auteur va s’attarder est celui de l’histoire d’une ville, dans le temps, qui permet de la comprendre, pour y construire un bâtiment, et non les caprices sois disant créatifs de certains « archistars » qui polluent la vue plutôt que d’y intégrer des architectures en rapport avec la géographie du lieu.
Apres un voyage a New York, et la lecture d’un article sur l’architecture de cette ville, l’auteur met en évidence le fait que Gehry, Piano, les SANAA, avec le new York Times, le ground zéro etc.… sont en train de transformer là non pas une ville, mais une façade énorme, sans répondre aux vrais besoins des habitants. Ces constructions étant basée sur des accords politiques et immobiliers, sans penser à l’expulsion des citadins, ni à leur bien être.
New York s’est lancé dans une série de grands projets immobiliers, qui pourraient être interprété comme une simple diversion culturelle, mais qui