corpus
De plus, nous avons les rimes plates qui s’agissent de rimes qui se suivent simplement par groupe de deux. Dans le texte de Charles Perrault, nous trouvons « confiance » et « science » à la fin des vers 17 et 18 et dans le poème de Nicolas Boileau nous repérons « rimant » et « jugement » à la fin des vers 35 et 36.
Le soucis de bien faire va emmener quelques écrivains à l’imitation des auteurs de l’Antiquité. Par contre il y en a quelques un qui décident innover et c’est en cela qui consiste la querelle des Anciens et des Modernes.
Nicolas Boileau dit « Marchez donc sur ses pas». Ceci signifie que l’auteur nous conseille à suivre les pas de François Malherbe, un grand écrivain français de l’Antiquité qui a réformé la langue française. Cet artiste est alors un des écrivains parmi les « Anciens ».
Par contre, Charles Perrault affirme que « la belle antiquité fut toujours vénérable : Mais je ne crus jamais qu’elle fut adorable » vers 1 et 2. Il appartient alors aux « modernes ». Il invite le lecteur à regarder le futur et oublier le passé.
Comme réponse à Charles Perrault, La Fontaine écrit un poème adressée à Huet, grand pourfendeur des « modernes » qui déclare que « près de