Cour paysage, lumiere
Le terme paysage arrive qu’aux 16ème siècles.
Léonard de Vinci : « L’annonciation »
On ne parle pas de paysage puisque au premier plan nous avons la scène mis en avant.
Le paysage ici ne sert que de « décor » pour une compréhension de la scène (Marie fait parti du monde réelle architecture qui l’entoure, alors que l’ange Gabrielle du monde spirituel religieux Nature).
Sfumato : disparition de trait (de contour) flou / vibration des masses. (Mélange du maitrisé et non maitrisé).
Ce n’est pas un paysage si le paysage est un instrument pour donner un sens à la scène.
Joachim Patinir : C’est un paysage (environnement et nature mis en avant). * Vaste étendu terrestre // nature qui nous échappe. * Nature maitrisable ≠ non maitrisable. * Personnages petits. * Vue en hauteur du paysage. * ≠ perceptive.
La perceptive c’est un regard pour les hommes (côté culturel).
Giorgione : peintre vénitien « la tempête ».
C’est la première peinture d’un paysage : * Au centre la nature submerge. * Représentation de phénomènes naturels. * Les ruines et les personnages sont mis sur le côté. * La nature domine sur l’homme.
Peintre poussin : fin 17ème siècle : paysage.
Fondateur de l’abstrait Kandinsky.
Perception atmosphérique :
1er plan des couleurs chaudes, éléments grands, et contrasté.
Dégradé jusqu’à :
Fond des couleurs froides, éléments petits et saturés.
Peintre anglais : Turner : atmosphère.
Monet : « les meules », paysage perception de l’air.
ARCHITECTURE
Comment trouve-t-on l’articulation entre nature – culture dans l’architecture ?
* Temple grec au sud de l’Italie à Paestum
Construction anamorphosique (pas tout à fait symétrique / déformation : pour donner un effet de perfection au regard).
Les cannelures sont inspirées de l’ancêtre des colonnes en bois ou l’ont enlevé l’écorce puis l’aubier avec une gouge qui former alors des creux et arrête : les cannelures