Critique film la mouche
L'histoire, en deux mots : Seth Brundle (Jeff Goldblum) est un physicien farfelu mettant au point une machine capable de réaliser l'un des fantasmes de l'homme, la téléportation. Suivi de pres par une journaliste Gwena Davis (Veronica Quaife) qui deviendra par la suite son amante. Lors d'une enieme experience Brundle se telleporte lui meme, sans savoir q'une mouche faisait aussi parti du voyage, or l'ordinateur non programmé a transporter deux corps, les fusionnent. A ce jour il devient alors sa propre experience. Petit à petit, Brundle va se transformer en mouche géante, plus mutante qu'insecte. La cabane a savant fou ou le garage desaffécté est le principal lieu de tournage et le reflet de la confusion ironique d'un chercheurs, pas toujours rigoureux, et ordonné. Son destin prend le dessus, les sentiments sont mellés entre lutte et abandon, rejet et anthousiasme.. Sa dulciné refuse plus la muttation psychologique que physique. L'instinct d'insecte se developpe lentement tout le long du film. Les quelques scenes emouvente a en pleurer sont tres bien accompagnées des musiques d'Howard Shore.
La regression de cet hero pourtant exposé a une vie de succes surprent d'avantage. Il ne faut pas en juger a sa premiere impression, le fond du film, n'est pas seulement une transformation de sciences fiction, mais bien plus, c est une évolution non accepté, une chose qui contredit de la nature ou l'etat d'esprit de l'homme. Le destin est inévitabl. C'est donc bien plus general, et nous devrions à notre echelle tous nous reconnaitre dans ce chef