devoir 1 Français cned seconde
• Une faible plainte, avec violence, épouvantables, gémi, torture, peine, cruellement
• Non elles ne sont pas supportables pour Jeanne.
2 Une fine analyse psychologique : jalousie et révolte
• Ce qu’elle ressent à l’égard de Rosalie est de la haine et de la jalousie car elle lui à « volé » son mari et que son mari s’occupe plus de Rosalie que d’elle.
• Les expressions par lesquelles Rosalie et son enfant sont désignés est l’enfant bâtard ou le frère et sa bonne ou cette fille.
• Le point de vue adopté dans ce passage est omniscient on est juste dans les penser de Jeanne.
3 La découverte de la maternité
• Le sens avec lequel elle fait la connaissance avec cet enfant est le toucher.
• Les expressions qui montre comment la mère perçois progressivement son enfant une fois qu’il est né est ce fardeau, ils enlevèrent quelque chose, la fit tressaillir, entra dans l’âme, dans le cœur, dans tout son pauvre corps épuisé, une traverser de joie.
• Le moment auquel le narrateur introduit son propre avis sur l’enfant est à l’avant dernier paragraphe
• Le connecteur logique qui souligne ce changement est le changement d’avis de la mère sur son enfant.
• Le paradoxe ainsi introduit est
• Ce qu’elle ressent alors à l’égard de cet enfant est de l’amour, un bonheur nouveau et une nouvelle fois heureuse.
CONCLUSION
• Cette extrait est naturalisme car le narrateur à fait recours au discours indirect libre, ce qui permet de mêler récit et langage vrai, et c’est ce qui en a fait une œuvre littéraire (il raconte la vie de Jeanne depuis ses 17 ans après qu’elle soit sortie du couvent et qu’elle rencontre Julien jusqu’au jour de la naissance de son enfant.)
• Oui ce passage est un tournant de la vie du personnage car au début de l’histoire c’était une jeune fille qui avait la joie de vivre qui fus encore plus heureuse avec la rencontre de Julien mais qui au fil de l’histoire se rend compte que cette histoire n’est qu’illusion, elle se mis à