e plan est ici chronologique.

1945-1969 : de la fin de la guerre à la démission de De Gaulle : mythe résistancialiste / résistancialisme, « syndrome de Vichy » (H. Rousso), PCF : « parti des 75 000 fusillés », Pétain : thèse du « glaive et du bouclier », mémoire officielle.
Acteurs :
- hommes et partis politiques : PCF, De Gaulle,
- survivants : juifs, soldats, déportés du STO (Service du travail obligatoire),
- Alain Resnais réalisateur du documentaire Nuit et Brouillard en 1956, en collaboration avec l’historien et résistant Henri Michel,
- Robert Aron historien, auteur de Histoire de Vichy, 1940-1944 en 1954,
- André Malraux écrivain, résistant et ministre de la culture de 1959 à 1969 (Ve République).

Depuis 1970 : après la démission de De Gaulle : fin d’une mémoire officielle, politique mémorielle, mémoire de la Shoah, procès Eichmann 1961, négationnisme, procès pour crime contre l’humanité, F. Mitterrand : vichysto-résistant, journée de commémoration.
Acteurs :
- Marcel Ophüls documentariste et réalisateur américain mais actif en France, Le Chagrin et la Pitié, 1969,
- Robert Paxton historien américain, La France de Vichy, 1973,
- Henri Rousso historien, Le syndrome de Vichy, 1987,
- Annette et Olivier Wieviorka (frère et sœur) historiens de la Seconde Guerre mondiale et de sa mémoire en France,
- Associations des survivants de la Shoah les époux Klarsfeld avocats,
- Les Présidents de la Ve République depuis 1969.
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Question 5
Rédige le plan détaillé de la composition.

Corrigé
I. 1945-1969 : le temps de la mémoire collective : le poids des politiques sur l’histoire
1. Pour conjurer le traumatisme : le mythe résistancialiste
- Gaullistes et communistes -> poids des politiques,
- Épuration légale et procès de Pétain en 1945 (condamné à mort puis peine commuée en prison à perpétuité par De Gaulle) pour clore le sujet de l’État français « Vichy est nul et non avenu »,
- Occultation de la vérité