Discrimination positive
Préambule
Si j’entreprends aujourd’hui de faire mon dossier de presse sur le cas de la discrimination positive aux Etats-Unis c’est parce que c’est un sujet très sensible qui demeure toujours au cœur des débats politiques américains. C’est une révolution qui, au tout début de sa mise en place est louable : il permet alors aux minorités d’avoir un nouvel espoir de vie, c’est une nouvelle promesse faite à ces populations désavantagées par la ségrégation raciale. Dans ce travail il sera très important pour moi de souligner les points de vue de chacun car comme on s’en doute les violons des uns et des autres ne s’accordent pas face à la question : Doit-on mettre fin la discrimination positive ? Je prendrai aussi le soin de donner mon avis sur cette question.
Introduction :
Le XIIIe amendement de la constitution aux Etats-Unis met fin à l’esclavage : c’est une nouvelle ère ! C’est un succès, amenant avec lui plusieurs étapes qui ont successivement conduit à la Discrimination positive. Cependant on va très vite constater des limites à ce phénomène car il a créé « deux camps » et laisse le pays entre uniformisation et différenciation, de plus en plus de personnes pensent que ce genre d’action n’a plus lieu d’exister. La discrimination positive est-elle encore une nouvelle forme discrimination ? En premier nous verrons la discrimination positive comme un fait égalitaire et enfin en tant que manifestation principale de sélection (entendre sélection ici comme stigmatisation).
Présentation :
Définition et origine « La discrimination positive correspond à l’ensemble des mesures destinées à permettre le rattrapage de certaines inégalités, en permettant la promotion sociale, économique et politique de groupes qui sont ordinairement exclus sur la base de critères sexuels, ethniques, médicaux, linguistiques, socioéconomiques ou territoriaux. Née aux États-Unis dans les années 1960 et 1970 pour favoriser