Dissertation sur les fleurs du mal baudelaire
D’abord, pour le poète, la femme est une source de bien-être et d’inspiration. En effet, selon lui, la femme lui donne une sensation d’aisance à laquelle il aime beaucoup jouir. La femme est une créature très importante pour le poète. Dans le poème XXVI LE SERPENT QUI DANSE1, on remarque que la femme dont il parle tient énormément à ses yeux. « Que j’aime voir, chère indolente, »2 L’emploi du mot « chère » dans le premier vers de la première strophe nous renseigne dès le début du poème que la femme dont il parle est fortement appréciée et aimée par le poète. Ce mot vient appuyer les sentiments d’amour qu’il a pour sa moitié. Le lexique appréciatif donne, ainsi, les renseignements sur les sentiments du poète qui prouvent bel et bien que la femme présente un grand intérêt pour ce dernier. « Un ciel liquide qui parsème d’étoiles mon cœur ! »3 Le poème se termine par un point d’exclamation. Ceci a pour effet de soutenir le fait que le poète tient à sa bien-aimée. L’exclamation traduit la joie et l’intensité que le poète éprouve pour la femme. Aussi, la ponctuation exclamative que le poète utilise pour s’exprimer divulgue au lecteur qu’il éprouve des sentiments émouvants et singuliers pour la femme. Bien que la femme soit considérée comme marquante aux yeux du poète, il trouve, aussi, que celle-ci le subjugue. La femme est source d’inspiration, car elle ne cesse de fasciner le poète. En