Don juan
Joachim du Bellay un grand poète du 16e siècle. Il a écrit un sonnet en 1558 intitulé Le beau voyage. L’analyse du poème portera sur la façon avec laquelle l’auteur traduit son sentiment de nostalgie pour son pays natal. Son sentiment d’attachement et le lyrisme du poète seront traités dans le texte.
Premièrement, ce premier paragraphe traitera du sentiment d’appartenance que l’auteur a pour sa maison. Joachim du Bellay démontre l’amour pour son chez lui en le préférant aux grands palais romains. Le poète utilise une comparaison antithétique pour démontrer la différence entre les deux demeures. «Plus que le marbre me plaît l’ardoise fine.». En démontrant les matériaux de sa résidence natale et sa demeure d’exil, il fait ressortir le luxe des palais romains fait de marbre et l’ardoise fine de sa maison en les comparants. Il y a aussi une antithèse, car l’ardoise est un matériau beaucoup moins solide et luxueux que le marbre. La sonorité du texte nous démontre la douceur de son pays natal. Le poète se sert de sonorité douce qui finissent en «ine» et «i» lorsqu’il décrit son pays natal. Dans le poème on peu retrouver le champ lexical suivant : «bâti», «fine» et «angevine». Lorsqu’il décrit son pays d’exil il utilise des sonorités plus graves. Bref, on ressent très bien la nostalgie du poète par son sentiment d’appartenance envers sa maison et la sonorité douce lorsqu’il parle de sa demeure mais, sa nostalgie se fait ressentir de d’autre façon dans le