Escale portugaise
Introduction :
Visée du texte : le texte a pour but de donner une image esthétique de ce que l’auteur a vu, décrire la poésie et ses sentiments.
Genre : texte qui appartient au genre de la poésie
Registres : pas de registres dominant, tonalité érotique.
Idée directrice : (en 2 ou 3 phrases) principaux intérêts du texte choisis pour l’explication, annonce claire de ce que l’on va expliquer (« on peut étudier ce texte selon deux perspectives… »).
Lecture analytique : développement des idées directrices appuyée sur des expressions du texte, sur des relevés commentés.
Conclusion : synthèse rapide ou bilan de l’explication, ouverture. Ouverture sur l’influence de ce texte sur d’autres œuvres (Emile ou de l’éducation ou les Fables de La Fontaine et Hitler ou au vieux Chat et la jeune Souris)
Procédés d’écriture :
*figures de styles : -métaphore « l’escale fait sécher ses blancheurs aux terrasses » = le bateau fait sécher ses voiles au bord du quai. -personnification « le vent s’évertue » (s’évertue = faire des efforts )
*2 points de vue : ville chaleureuse, belle, mais plus on avance plus le soleil est rude et donc la ville devient moins agréable. => comme si la sirène (« Marseille, sortie de la mer »), charmante, belle, donne envie mais plus on reste, plus elle nous attire dans son piège et donc devient finalement méchante et beaucoup moins agréable.
*Champ lexical de la ville : terrasses, maisons, rue, paniers, grilles de fer, boutiques, fenêtres, volets, Place, cadran.
*Champ lexical de la nature : vent, soleil, algue, mer, poissons, feuillage, lumière, rose.
Dans ce poème les 2 champs lexicaux sont associés d’un à l’autre à chaque fois : oranger = cadran ; maison roses au soleil ; Supervielle associe souvent la nature avec la ville.
*Langage : soutenu et courant sont mêlés.
*Temps : présent = rend txt vivant, donne sensation d’y etre on a le temps qui passe puisque dans son poème on commence avec le levé de