fantastique
Français
Corrigé
1. Le lieu lui-même : un château inhabité ; l’obscurité ; l’odeur de moisi.
2. « je n’y distinguai rien, mes yeux s’habituèrent à l’obscurité, je vis, je remarquai, mes yeux, je renonçai à l’espoir d’y voir plus clair, je m’écarquillais les yeux. »
3. - L’empreinte sur le lit (lignes 4-5)
Le désordre (ligne 7)
La porte entrouverte de l’armoire (ligne 9)
Le « frôlement » que le narrateur sent derrière lui (ligne 20)
Le « frisson » qu’il ressent (ligne 22)
(Accepter 3 de ces 5 éléments)
4. Il réagit avec raison en essayant de trouver une explication rationnelle aux faits étranges dont il est témoin : « pensant qu’un courant d’air avait fait remuer quelque étoffe ». Il ne cède pas immédiatement à la peur : « c’était tellement bête d’être ému »
5. « assez nettement, comme si on venait de se poser dessus, semblaient, sans doute, je crus entendre, pensant qu’un courant d’air avait fait remuer quelque étoffe »
6. « m’abattre à la renverse, épouvantables et stupides terreurs, l’âme se fond, on ne sent plus son cœur, le corps entier devient mou comme une éponge, on dirait que tout l’intérieur de nous s’écroule »
7. Il ne cède pas immédiatement à la peur et refuse de croire au surnaturel : « c’était tellement bête d’être ému ». Il essaie de trouver une explication rationnelle au phénomène étrange : « pensant qu’un courant d’air avait fait remuer quelque étoffe »
8. - Les détails suggérant que la chambre est habitée : le lit qui porte une empreinte de coude ou de tête (ligne5), les sièges en déroute (ligne 7), la porte entrouverte de l’armoire (ligne 8)
Ceux qui suggèrent que la chambre est inhabitée : l’odeur « moisie et fade » (ligne 2), « un lit sans draps » (ligne 4), les ferrures rouillées du contrevent (ligne 10)
9. C’est l’intrusion du surnaturel dans le cadre réaliste d’un récit, avec l’hésitation entre une explication rationnelle et une explication surnaturelle quant au