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Une lettre qui provoque
Dans la nuit du 30 juin, vers 0h30, un homme de 61 ans fut arrêté sur la rue Charlemagne à Rosemont. La cause est en premier lieu liée à une menace créé par un groupe jusqu’ici inconnu qui désirent imposer un moratoire sur le gaz de schiste, par la violence s’il en nécessaire. L’enquête a débuté dès la réception de la lettre à La Presse le 10 juin et de l’appel anonyme que Patrick Lagacé a reçu. On précisait l’endroit où se trouvait la lettre et que ceci l’objet de celle-ci n’était pas dangereux pour nous. « On a pris la menace au sérieux », rassure Roland McInnis, porte-parole de la Sureté du Québec. La perquisition a lieu le mardi 14 juin à La Presse pour ensuite obtenir la lettre le vendredi 10 juin. André Bélisle de l’Association québécoise de lutte à la pollution atmosphérique a cité, « Les menaces sont inacceptables et on doit rester dans le respect de la loi et de la démocratie. On n’a jamais fonctionné comme cela à l’ADLPA en 29 ans d’existence. » L’homme suspect passera devant le tribunal le mardi 30 aout et deux accusations sont possibles face à ses actes. Des menaces et une incitation à craindre des activités terroristes.
Également, une lettre a été reçue par Gaz Métro le vendredi 10 juin. « Gaz Métro a reçu une lettre vendredi, lettre qui a été remise au service de police de Ville de Montréal. Nous ne souhaitons pas émettre d’autres commentaires à ce sujet, » a écrit le 13 juin Jean Charles Robillard, relations avec les médias, Gaz Métro. On en sait bien peu sur le suspect, mais comme le cite Roland McInnis, « L’enquête initiée par la division sur les menaces extrémistes de la SQ a permis de remonter jusqu’à l’individu qui, à ma connaissance, n’a pas d’antécédents judiciaires.»
Le sujet est minutieux et pour les associations pétrolières et gazières du Québec, il important de bien prendre en charge cette menace qui peut s’aggraver si ne l’on réagit pas. Stéphane Gosselin, directeur général