Guigui
Projet de recherche
Présenté à Jacques Lefebvre
Le 14 avril 2013
Par
Guillaume Debellefeuille-Maheux
Groupe 59
École de la Baie-Saint-François
16 avril 2013
Table des matières
1. Problématique et question de recherche 1
2. Plan provisoire de recherche 2
3. Analyse des sources 3
4. Sélection des 3 meilleures sources 8
BIBLIOGRAPHIE 9
Problématique et question de recherche
Dans un contexte de décolonisation, pourquoi la France tenait-elle tant à garder son pouvoir sur l’Algérie?
À l’époque, il y avait tellement de colons français en Algérie (environ 900 000) que les droits des musulmans algériens, qui étaient approximativement 8.5 millions, étaient de plus en plus restreints. En effet, les pieds-noirs[1] étaient plus avantagés sur plusieurs plans tel le plan social et civil que les musulmans d’origine algérienne. Ces musulmans ne bénéficiaient plus des mêmes droits que les colons français. C’est pourquoi en 1954, un parti musulman indépendantiste nait. Ce parti se nomme le Front de Libération national (FLN) et le chef d’état se nommera alors Abdelaziz Bouteflika. Ce parti sera au pouvoir seulement en 1958 et entamera des discussions avec la France. Or, de 1954 à 1958, une série d’attentat a lieu surtout par l’ALN, une branche extrémiste et armée du front de libération national incluant les berbères algériens. Les attaques allaient de la torture aux échanges de coups de feu dans les places publiques. La violence était utilisée dans tous les coins de l’Algérie. En 1958, Charles De Gaule est réélut à la tête de la république française et est persuadé que la seule façon de cesser la guerre est de donner l’autodétermination aux algériens. De 1958 à 1961, plusieurs pourparlers ont lieu, mais la violence est toujours de mise en Algérie. C’est seulement qu’en 1961 que