L’historiographie romantique Lire l’histoire en miettes. Ecole = courant de pensée. Bouguereau : peintre très connu fin 19e, Nymphes et Satyres (1873) > voir Musée du quai d’Orsay. Bauhaus : il y a 70 ans de décalage entre ce que ceux du Bauhaus font et ce qu’on connaît aujourd’hui (Ikea). « la civilisation matérielle » Colonne de Trajan (97) pour les Romains d’Astérix, Cléopâtre représentée en égyptienne alors que grecque. Fukuyama (fin de l’histoire) Mangin, c’est un assassin > 1917, chemin des Dames. Continuité : intendants-préfets, devoir surveillé-évaluation. Paléographie : étude des textes anciens. Auteur de science-fiction : Fondation d’Asimov. Jusqu’au 7e , il y a un marché aux esclaves à Verdun (les meusiens c’est des esclavagistes) Evocation de l’historiographie de l’époque moderne On suppose que l’époque moderne existe. Ce qui est intéressant dans la démarche des humanistes, c’est la prise de distance vis-à-vis de la sphère religieuse, même si très prégnante. Courant religieux qui va entraîner un nouveau questionnement : vont vouloir travailler sur le texte même, vont interroger le texte > démarche critique commencée par le protestantisme. Développe un sens critique et un questionnement des textes. On va commencer à écrire l’histoire de façon critique. 2 noms à citer : Etienne Pasquier et Jean Bodin. Ils vont faire une étude critique, chercher du sens derrière les événements. Juristes de formation au parlement de Paris. Début d’une construction scientifique de l’histoire, mais relativement bridée pour des raisons religieuses, car peut amener à des critiques de la religion, du pouvoir établi. Retour de bâton à partir du 17e, courant de la contre-réforme > retour d’une vision téléologique de l’histoire (finalité de l’histoire), catholique, incarnée par Bossuet, inscrit dans le schéma de la Providence. Régression de l’historiographie au 17e. Il faut attendre le 18e pour un retour à une histoire