ljhjbfsvKery James
Kery ou Alix Mathurin est un rapeur français. Autrefois appelé Daddy Kerry, il est né le 28 décembre 1977 aux Abymes en Guadeloupe. Ces parents étaient Haïtiens et l’ont envoyé en France métropolitaine à l’âge de sept ans. Originaire des Yvelines, il vécu une enfance dure et a même été placé dans une famille d’accueil. Attiré par les son Hip Hop, il a écrit son premier texte à onze ans sur le racisme. Ilse fait remarquer par Mc Solaar et enregistre même un morceau sous le nom de Kerry B. C’est a treize ans que lui et ses amis fondent la, très célèbre, Mafia K’1 Fry.
« Kery James se place en agitateur virulent, prônant la rébellion contre l'État français et flirtant parfois avec un certain extrémisme. Pris dans l'engrenage de la rue et de ses vices, le rappeur manque de peu de basculer du mauvais côté »4.
C’est un rappeur et il se réclame de la « street » avec tout ce que cela implique même si il sort déjà ses premiers CD. Vers les années 2000 suite au meurtre d’un de ses amis, il quitte la musique et se consacre à l’islam. En 2001, sous la pression de ses amis il revient avec l’album « si c’étai a refaire ». Cet album porte un regard radicalement différent, emprunt d’un point de vue musulman. La réflexion est maintenant loin des appels à la violence du début. Il critique le Rap français qui ne se remet pas en question. Ces textes sont plus poussés, plus murs et ce changement se voit aussi dans sa musique. Elle est influencée par des musiques arabes, guadeloupéenne, africaine. Il cherche à se rattacher à ses racines tout en jouant dans la finesse.

Il a participé au plus grand rassemblement l’Urban Peace. Mais les gros concerts il les enchaîne. Ce n’est pas le plus marquant chez lui. Ce qui est impressionnant c’est l’engagement de Kery James pour beaucoup de causes. Depuis tout jeune il milite contre le racisme et aussi contre l’injustice des prisonniers dans le monde carcéral (« Au pays des droit de l’homme »). Les œuvres humanitaires