La bonne couleur

Le titre est la bonne couleur de Yaël Hassan. L’édition est Casterman Poche et il contient 120 pages. Yaël Hassan est née à Paris en 1952. Elle a passé son enfance en Belgique, son adolescence en France et sa jeunesse en Israël pour revenir en 1984, mariée et ayant des enfants. Elle a travaillé dans le tourisme mais après un accident, elle se plonge dans l’écriture. Elle écrit un livre Grand-père tombé du ciel qui eut un prix du Roman Jeunesses en 1996. C’est un roman. Le livre est paru en 2006. Le personnage principal est Max. C’est un lycéen dans un temps futur où les personnes sont caractérisées par leurs uniformes (violet pour les meilleurs ; rouge pour les bons ; vert et bleu pour ceux dans la norme et brun pour les mauvais). Max était rouge mais après avoir été surpris avec un opposant, il devient brun. C’est à la troisième personne. Cela se passe après notre temps, « Ils » ont pris le contrôle après que les citoyens n’aient plus voté. « Ils » ont alors fait une dictature avec certaines lois : des uniformes de couleurs dans les écoles (violet pour les meilleurs ; rouge pour les bons ; vert et bleu pour ceux dans la norme et les bruns les mauvais). Notre héros principal, Max, est brun. Avant il était rouge. Il est mal aimé par les bruns, car il était rouge et les bruns doivent respecter ceux qui ont un échelon au-dessus d’eux. Max est donc seul. Un soir, une personne prénommé Felix, vient lui demander de l’aide pour montrer une horloge. Suite à cela, ils vont se lier d’amitié. Felix va lui apprendre ce que c’était la démocratie. La mère de Max, Magda, est contre cette amitié naissante. Max commence à parler de « révolution » à une violette, Marilyn -qui n’accorde pas d’importance aux couleurs- et à un de ses professeurs. Plus tard, Max va apprendre que son père, Jo (qui est en prison et divorcé) est un bon ami de Felix. Max voit des papiers de révolution dans la rue. Il va apprendre que c'est une