La connaisance de soi
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Ce texte est extrait du texte d'Henri Bergson, philosophe du XXème siècle. L'auteur s'interroge sur la difficulté d'avancer dans la connaissance de soi, contrairement à l'apprentissage du monde extérieur.
L'auteur montre que l'apprentissage du monde extérieur répond à des règles, il est naturel. Alors que l'avancement dans la connaissance de soi est, au fur et à mesure de plus en dur et semé d’embûches.
On comprend que le problème aborder va constituer à réfléchir sur comment se fait-il que notre personnalité soit la chose le plus dur à connaître pour nous alors que nous sommes intérieur à nous même. On se demandera dans quelles circonstances, cette ignorance peut nous être utile ?
Le texte commence par montrer la différence d'apprentissage. Hors de soi, il est d'une facilité croissante contrairement au-dedans où le progrès est de plus en plus pénible. Il explique ensuite que notre esprit est étranger à notre corps alors que la matière, elle, nous est familière. Puis il montre que dans certains cas l'ignorance de soi est inutile. Elle répond à une nécessité de la vie. Puis ils conclura sur l'action exercée sur la matière, et les conséquences.
Dans un premier point, l'auteur analyse l'apprentissage matériel, celui du monde extérieur à nous. D'après lui l'effort pour apprendre est naturel. Ainsi il est de plus en plus facile à intégrer, car on ne fait qu'appliquer des règles. C'est à dire que chacun répond à des règles naturelles répondant à un besoin vitale.
Au contraire, la connaissance de soi est plus ardue. L'auteur compare l'avancement dans la connaissance intérieur à « remonter la pente de la nature ». Par là, l'auteur fait allusion en utilisant le mot « nature » aux grandes catastrophes naturelles qui servent d'obstacles à la progression de la connaissance. De plus il utilise le mot « pente » pour insister sur la dureté croissante de la progression.
Dans un deuxième point, l'auteur met en évidence le coté illogique de