Camille Arcand 502
La connaissance

La connaissance, par définition, est le fait de connaître quelque chose, de l’avoir appris soit à l’école ou bien par son entourage. Mais ce terme est bien relatif par rapport à sa signification puisque la connaissance absolue n’existe pas. On peut connaître quelque chose, par exemple son quartier, mais jamais on ne le connaîtra véritablement, tout ce qu’il abrite dans chaque coin, mais on ne peut tout de même pas dire que nous ne savons rien sinon nous ne serions pas là à se poser toutes ses questions. C’est là qu’entre en compte un nouveau terme : la vérité. La vérité, elle, par définition, est ce qui est réellement. C’est pourquoi la connaissance ne peut être la vérité parce qu’on ne peut savoir absolument tout. Comment pourrions-nous affirmer connaître toutes les choses alors que les connaître, c’est de la manière que nous seul nous les percevons. Donc, ce n’est point la vérité puisque c’est relatif pour tous. On peut donc dire que les deux termes sont intimement liés puisque la connaissance n’est pas la vérité mais une connaissance qui n’est pas vrai n’est pas une connaissance, mais bien un mensonge. Toutes les sciences sont des connaissances, elles ne sont pas définitives, elles sont vraies, mais en même temps, elles ne sont pas la vérité même puisqu’on ne peut les vérifier totalement. C’est pourquoi alors les sciences, les langues, tout évolue. On continu de chercher parce qu’on ne sait pas tout, on veux tout découvrir. C’est une quête constante de la vérité, puisqu’entre la connaissance absolue et l’ignorance, il y a la connaissance qui ne cesse d’évoluer vers la