La littérature peut elle-être mise au service de la science?
Depuis L’Antiquité, il existe de nombreux auteurs comme Platon, Aristote, Archimède, Freud, Démocrite, Socrate. Puis vint les auteurs du XVIIIème-XXème, Zola, Balzac, Victor Hugo, Cronin, Jules Verne. Tous ces auteurs qui ont marqués l’histoire du monde entier ont un point commun : « La science ». En effet quel que soit la finalité de leurs œuvres, tous parlent ou utilisent un des domaines de la science : la philosophie, la sociologie, les sciences de la Terre, etc. De ce fait, peut-on vraiment dire que la littérature est au service de la science?
Les auteurs de L’antiquité cités précédemment ont créés un grand domaine de la science, l’art de faire la distinction entre le beau et le bien, l’art de la sagesse et du savoir : « la philosophie ». Cette discipline réclame une forme de rédaction particulière pour expliquer et convaincre.
Zola qui appartient aux romanciers du XVIIIème-XXème siècle a dit : « Le romancier est fait d’un observateur et d’un expérimentateur ». De cette phrase on peut comprendre que les romanciers naturalistes décrivent la société de leur siècle. On peut donc dire qu’ils font de la sociologie.
Par exemple, dans Thérèse Raquin de Zola, Il va attribuer des tempéraments et non des caractères à ses personnages. Les deux héros principaux, Laurent et Thérèse, sont dépourvus de libre arbitre et sont dominés par leurs nerfs et leur sang. Chaque acte de leur vie est entrainé par les fatalités de leur chair. Zola va les qualifier de brute humaine. Tous cela pour dire que Zola a observé la société de son temps et l’a transportée dans son roman pour dénoncer les mœurs de son temps.
Dans Germinal, toujours de Zola, on découvre un mineur Étienne Lantier qui va se révolter des misérables conditions de vie des mineurs et du peu de salaire que gagnent ceux-ci. Il va propager des idées révolutionnaires et pousse les mineurs à la grève.
Ici, Zola dénonce la