La scouine
Il avait quatre garçons et ils travaillaient tous sur la ferme. Il y avait un puits et une pompe devant la porte qui nous aidait à pomper notre eau. La Scouine n’avait pas besoin de prétexte pour aller voir le curé le dimanche suivant, car pour elle fréquenter l’église étais une habitude. À un carrefour les chevaux de Frem Quarante-Sous et de Charlot allèrent vers le rang des Voleurs, puis celui des picotés. La vie sur cette campagne semblait rude, mais très gratifiante pour la vie. La route était bordée par de nombreuses terres arables, les terres étaient en santé, nourricière et semblaient apportées de très grande récompenses. Un homme a fière allure, fauchait, bottes dans les pieds, une énorme récolte. Les longues journées de labeur avait été récompensé par une bonne récolte et lui permettais de maintenir sa santé. C’était la Complainte de la Faux, une chanson qui disait le rude travaille de tous les jours, est récompensé par les terres nourricières, l’avenir assuré par la transmission du patrimoine aux enfants, la vieillesse joyeuse en raison de l’aide des plus jeunes, une vie qui aura été gratifiante. Les sauterelles étaient découragées par les nombreux efforts du paysan qui ont été récompensés. Les deux voitures passèrent ensuite dans une région parsemer par les foins qui été récolté par les paysan durant l’été. Le terre paraissait grandement riche. Les clôtures qui entouraient les plaines étaient toutes bien droites, enlignées et en très bonnes états. Charlot et la Scouine arrivèrent chez eux et prièrent le repas à la