La violence

929 mots 4 pages
Freud :

2-c’est la pulsion de mort c’est pas un refoulement, la vie psychique de l’homme est un combat entre la pulsion de la vie et celle de la mort , il précise que la violence chez l’homme ne peut être éradiqué parce que son siège est biologique elle est consubstantielle a la vie psychique elle a sa racine dans un instinct primitif et tous ce que l’homme peut faire c’est de tenter de la maîtrisé de l’extérieur .

Thomas Hobbes : l’être humain est naturellement violent, car il est prêt à tout pour survivre, se protéger et augmenter sa fierté. « L’homme est un loup pour l’homme », selon la fameuse formule qu’on attribue à ce philosophe. L’État doit donc protéger l’être humain de lui-même et de ses semblables.
On le voit, pour Hobbes, les êtres humains ne sont pas des êtres naturellement sociaux : ils le sont - ils le deviennent - par une soumission nécessaire à l’État qu’ils se créent, par un pacte de non agression, pacte que la philosophie politique désigne sous le nom de contrat social. Les hommes, à l’état de nature, i.e. dans la situation où il n’y a pas de lois, pas d’institutions, pas de pouvoir politique, bref, pas de société, sont dans un état de « guerre de tous contre tous » où règnent la misère et l’instabilité. Car, désirant tous la même chose, survivre, ils sont des rivaux qui prévoient le danger et attaquent avant d’être attaqués. Dans cet état, puisqu’il n’y a pas de lois, rien ne peut être injuste : tous les moyens sont bons pour survivre.
Mais cet état de nature doit être dépassé, car les hommes ont peur de mourir et leur instinct de conservation leur dicte un besoin de sécurité. C’est précisément ce besoin de sécurité qui est, selon Hobbes, la cause du vivre ensemble des hommes : ils se détestent tous, mais ils acceptent de vivre ensemble en perdant leur droit naturel d’agresser. En contrepartie de cette perte de droit, ils gagnent la sécurité, l’ordre, la paix et la stabilité. Telles sont les fins qui justifient l’État et qui

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