La nuit de valognes
Les comparaisons sont suggérées par les apparences du personnage de la tapisserie. L’autre procédé d’écriture est l’emploi des verbes ou des expressions évoquant une transformation : bien pis, devenait, ressortait plus étrangement.4. Le fantastique est explicité par l’expression « chambre à revenants », on s’attend donc à voir surgir des fantômes. Le manoir est toujours plongé dans la pénombre, il n’est éclairé que par le feu de cheminée ou par une petite lampe et les portraits sont assombris par la fumée (« enfumés ») ou de nature foncée (verdure sombre). Il n’y a aucun bruit à part celui du vent. Il fait nuit. Les murs semblent vivants, les personnages des portraits et des fresques s’animent par leurs regards ou leur …afficher plus de contenu…
« La lampe saisie par l’atmosphère humide grésillait ».7. On peut remplacer devinait par Semblait. « un être presque réel » est l’attribut du sujet chasseur8. La lueur fumeuse de la torche faisait vaciller sur les murailles de l’escalier les fresques pâlies et donnait une apparence de vie aux portraits enfumés de la salle à manger dont les yeux noirs et fixes semblaient lancer un regard de pitié douloureuse sur leur descendant. Enfumés : est un participe passé, adjectif qualificatif. Portait enfumés de la salle à manger : complément du nom. Portraits enfumés de la salle à manger dont les yeux noirs et fixes : proposition