Le jugement esthétique par les philosophes
Kant va développer deux sortes de jugements esthétiques :
D’abord les jugements de gout ils portent sur la beauté, cette beauté a des formes spatio-temporelle, ici l’expérience de la beauté qu’elle soit naturelle ou artistique, c’est prendre plaisir à la beauté de la chose.
Pour Kant la beauté n’est pas une propriété de l’objet mais un jugement de goût qui renvoi à la relation sujet objet sans intermédiaire, ne effet le jugement de goût repose non pas sur des concepts mais sur un sentiment de plaisir ou de déplaisir : c’est un jugement subjectif.
En suite les jugements de sublime le sublime repose sur l’illimité, il est un sentiment partiellement esthétique car il doit être médiatisé par la raison et la moralité (ex. de l’orage en montagne). Le sublime est un plaisir négatif qui s’accompagne du respect de l’admiration et de la peur.
Pour Kant la réflexion sur le beaux doit être subjectif, avoir du plaisir, mais en aucun cas entre l’oeuvre et le spectateur, il n’y a pas de raison. Jugement proprement esthétique car proprement sensible.
Sphère autonome de l’esthétique, il différencie beau, sublime etc..
Un orage en montagne : beauté, mais peur car sentiment pas uniquement du plaisir mais aussi effroi et peur, ce n’est pas un sentiment esthétique car la sensibilité n’est pas l’unique sentiment de perception : il ne provoque pas seulement le plaisir, donc nous faisons appel à d’autre concept, de la raison etc... Pour supporter cette peur.
Le plaisir esthétique est un plaisir esthétique, désintéressé, c'est-à-dire autonome.
Le beau n’a pas d’autre fin que le beau, il ne doit pas être asservi à une autre chose.
En dehors de toute fin morale, politique, financière…
Ce désintéressement conduit à l’universalité du jugement de goût ; en effet dire d’une chose qu’elle est belle, c’est supposer que les autres la trouve belle, ou croire qu’ils puissent la trouver belle.
Tout jugement esthétique est universel car il y a la possibilité d’un