Justyna Przybylska L'interrogatoire Je ne sais pas, dit-elle en fixant le regard sur un homme juste devant elle. Il avait une cigarette dans la main et le visage cramoisie. Il ne fut pas certain qu'il dût passer avec cette dame tout le temps demandé par le supérieur mais quand même, cette affaire allait devenir vraiment fatigante et insupportable. Les même questions sans cesse posées de nouveau et ensuite les même réponses, pas rare pleines de l’agression ou du colère non fondé. Alors, il était parfaitement préparer à recevoir des insultes, des détours, des astuces bêtes et enfantines pour s'évader de la responsabilité. Finis ton jeux pitoyable et dis-moi tout de ce jour-là ! Il n'y a plus de place pour des blagues et des plaisanteries ! Je n'ai point envie de passer plusieurs heures avec toi en te priant de te sauver la tête. C'est ta vie, pas moi. Si tu veux crever dans la taule, le feu vert ! parla-t-il du bout des lèvres s'étant calmé. La femme ne dit rien. Elle tourna silencieusement la tête et essaya de ne pas lui montrer les larmes aux yeux. Elle souhaita à ce moment-là qu'il pansât d'elle le pire, qu 'elle fût mauvaise et vicieuse. Il ne put pas s'apprendre la vérité sur elle, pas de cette manière, pas comme ça dans une garde-à-vue, dans une détention où personne n'avait de possibilité de se tenir comme l'homme normale, d'oublier que si quelqu'un était ici il fallut qu'il fît un crime horrible, quelque homicide incroyablement brutale. Il faisait nuit , ou bien presque, mais il était visible que tout le monde s'endormit sauf ces deux-là. Une chambre n'avait qu'une seule source de la lumière, c'est-à-dire une ampoule, qui rendit l'ambiance plus terrifiant et maussade qu'en plein jour avec la lumière naturelle. La silence régnait partout, dans chaque coin, derrière chaque porte toujours bien fermée. Rien de plus accablant que de s’être trouvé dans ce type du lieu. Louise regretta que les choses eussent dû se dérouler comme ça mais il fallut trop tard