Tout a commencé le samedi onze mai au petit matin. Carmen Martiguez avait vingt-cinq ans. Elle avait une vie de difficile, elle se faisait battre par son mari. Elle était partie précipitamment sans que son époux ne le sache. Mais celui-ci n’était pas un homme à lâcher l’affaire. Il s’énerva et mit tous ses dossiers d’avocat par terre. Il décida de partir à sa recherche. Mais elle avait déjà prit le train pour Barcelone rejoindre sa famille. Quand elle entra dans le compartiment elle vit un homme déjà installé prêt de la fenêtre. Ils firent connaissance puis elle lui demanda où il allait. Le jeune homme se rendait à Tarragone (à vingt kilomètre de Barcelone) pour déménager, mais il se trouvait en plus qu’il était agent du F.B.I. Après de longues heures dans le train, elle lui avoua qu’elle se faisait battre par son mari. L’homme était tout étonné et dit qu’il pouvait lui trouver un très bon avocat. Mais la femme lui dit que son mari lui-même en était un. L’homme lui expliqua qu’il avait de très bons contacts et qu’il pouvait lui obtenir l’avocat le plus réputé d’Europe. Elle hésita car elle ne voulait pas que tout le monde le sache puis elle finit par être convaincue alors elle accepta. Ils discutèrent pendant quelque temps puis il décida d’appeler une personne inconnue. Son visage exprima une déception, puis il raccrocha. Il annonça à Carmen qu’il était désolé et que son premier appel n’était pas convaincant. Il lui proposa de venir quelque temps chez lui pour se renseigner et appeler quelques personnes. Elle accepta mais lui demanda son téléphone portable pour prévenir sa famille qu’elle aurait du retard. Après quelques conversations, elle lui proposa de se tutoyer. Ils arrivèrent à la gare, ils sortirent du compartiment et elle vit par la fenêtre son mari. Elle dit à l’homme qu’elle ne pouvait sortir, car il était là. L’homme lui dit qu’il allait parler à son mari et qu’elle ne devait pas s’inquiéter. Elle était angoissée. Son mari était violent et elle avait