Intro : Suite à la deuxième Guerre mondiale, le raison, la culture et le sens moral sont profondément secoués. À cette époque, le théâtre de l’absurde…

Dans la pièce de théâtre « Rhinocéros », Eugène Ionesco illustre le danger pour l’humanité représenté par la transformation des humains en rhinocéros. Il est facile de constater que certains personnages cèdent à l’influence des rhinocéros tandis qu’un seul y résiste. Tout d’abord, il est vrai de dire que Mme Bœuf est incapable de résister à l’influence de ces bêtes puisque son mari, M. Bœuf, fait partie de ces dernières. Mme Bœuf ne veut pas laisser son mari comme cela, c’est-à-dire en rhinocéros. Elle ne veut simplement pas l’abandonner. Bérenger à essayer de la retenir, mais en vain. L’épouse de M. Bœuf tenait absolument à aller le rejoindre dans la rue. Elle décide donc de sauter par la fenêtre afin de retrouver son mari en bas et de devenir à son tour un rhinocéros. En ce qui concerne le langage dans le théâtre de l’absurde c’est qu’il y a la répétition de phrases ainsi qu’une incommunicabilité entre les personnages, c’est-à-dire qu’ils ont de la difficulté à communiquer et à se comprendre. Par exemple, les humaines ne comprennent pas ce qu’expriment les rhinocéros avec leurs barrissements. Lorsque Mme Bœuf se prépare à sauter, elle dit à son conjoint : « Je viens, mon chéri, je viens. » (Page 123). Après avoir atterrit sur le dos de son époux, ils partent au galop en direction de leur maison. De plus, il est facile de constater la naïveté de Botard lorsqu’il cède à l’influence des rhinocéros parce que tout au long de la pièce, il proteste et refuse de croire la transformation des hommes en rhinocéros. Il dit que tout ça est impossible, c’est-à-dire qu’il croit qu’aucun humain ne peut se transformer en une bête aussi destructrice. Un peu plus tard dans la pièce, Daisy annonce à Bérenger que Botard est devenu rhinocéros. Bérenger n’en revient pas qu’il est pu se laisser influencer. Botard a décidé de se