Le chene et le roseau analyse
Caucase qui est un massif montagneux entre l’Europe et l’Asie. Ici il compare sont front a un massif de montagneux et c’est donc une comparaison exagérée.Ensuite il y a un champ lexical de la protection par la force avec les expressions : « non content d’arrêter les rayons du soleil », « brave l’effort de la tempête », « tout me semble zéphyr », « je couvre », « je vous défendrais ». Il se prend pour le protecteur des soi-disant plus faibles que lui. Il se montre arrogant, en appuyant fortement sur cet aspect.On trouve aussi un hémistiche au vers 10. Un hémistiche est la moitié d’un vers ; dans ce cas c’est un alexandrin, marqué par une césure. La césure marque l’opposition entre le chêne et le roseau : « Tout vous est aquilon, tout me semble zéphir …afficher plus de contenu…
3. Dans la troisième partie, aux vers 18 à 24, c’est au tour du roseau de parler. Son discours est bien moins long et structuré que celui du chêne. Il parle sans hyperbole, et se limite aux faits. Le roseau n’est pas egocentrique comme le chêne.Le roseau rejette la charité du chêne et montre qu’il ne va pas rentrer dans le jeu du chêne qui essaie de se mettre en valeur. Il montre aussi qu’il est sûr de soi et qu’il croit en sa propre force en disant ; « Je plie, et je ne romps pas » vers 21. A sa dernière parole le roseau dit « Mais attendons la fin. » Et cela sonne comme un pari envers le chêne.