Ainsi Les liaisons dangereuses est un roman épistolaire de Pierre Choderlos de Laclos et fut publié en 1782. Nous avons là trois des toutes premières lettres de ce célèbre roman. Nous allons alors expliquer comment ces trois lettres s’enchainent, puis nous analyserons ensuite les effets d’échos et d’opposition.

En effet ces trois lettres s’enchainent, tout d’abord chronologiquement, les deux premières lettres sont datés du 4 aout et la troisième du 5 aout et ensuite nous remarquons la présence de question- réponse : la marquise de meteuil écrit au vicomte de valmont dans la première lettres et celui-ci lui répond dans la troisième lettre.
Les effets d’échos sont nombreux dans ces lettres, Premièrement les trois lettres parlent de Cécile, c’est la raison de la première lettre, la marquise annonce au vicomte que « Mme de Volange marie sa fille » l 15 avec le comte de Gercourt, leur ennemi commun, c’est pourquoi elle lui demande de la séduire afin de l’humilier et qu’il devienne : « le fable de paris » l33. Dans la seconde lette c’est Cécile qui écrit à une amie et lui fait part de son mariage, elle ne connait pas encore l’homme qu’elle va épouser. Puis dans la derniere lettre le vicomte de valmont explique à la marquise de Merteuil que Cécile est une proie trop facile « vingt autres peuvent y réussir comme moi » l24 De plus le thème de l’amour est commun aux trois lettres. On observe la relation charnelle qu’entretiennent la marquise et le vicomte dans la première et troisième lettre « « puis il est question de mariage dans la seconde lettre : la jeune Cécile avec le comte de Gercourt.
Ensuite L’évocation de Gercourt fait également échos : dans la première lorsque qu’elle annonce le mariage de Gercourt et Cécile, dans la deuxième indirectement car Cécile explique qu’il y avait du monde chez elle à souper, et elle entend un homme dire en parlant d’elle « il faut la laisser murir », elle s’interroge alors à la ligne 19 « c’est peut être celui-là