Les sdf sont ils des citoyens comme les autres
a) une ville monstrueuse b)Une ville forteresse
II/ Les réactions du narrateur a) confrontation et choc b) le défis
Analyse du I/b
Un peu plus tard dans l’extrait, le narrateur semble toujours être un peu méprisant de la ville de New-York. En effet, il nous décrit une ville paraissant assez fermée, nous rappelant la description d’une ville forteresse. Ainsi , en utilisant des termes tel que « l’Américaine » ( l.7) , « elle ne se pâmait pas »(l.7), « pas baisante du tout »(l.8), et « elle était debout »(l.8), le narrateur nous fait une personnification de la ville l’attribuant au comportement et à l’attitude d’une femme paraissant assez méprisante. A travers cette personnification de la ville, Ferdinand veut nous faire comprendre que New-york est une ville peu accueillante qui, des leur arrivée en bateau , les regarde des haut grâce a ses immenses et monstrueuses tours et les néglige dès les premiers instants.
De même, Ferdinand donne l’impression de se retrouver en face d’une ville forteresse où l’on ne peut y entrer comme on le souhaiterait. En décrivant la ville de New-York tel qu’une « muraille » (l.12) ou encore une ville où « les gens d’Amérique n’aiment pas du tout les galériens qui viennent d’Europe » (l.16), le narrateur parle d’une ville qui paraît infranchissable aux galériens et qui montre un Ferdinand Bardamu par sûr de soi, qui commence à se demander s’il réussira à rentré ou pas dans la ville. De plus, la ville lui semble très difficile d’accès car pour lui, New-York s’intéresse qu’a l’argent et plus particulièrement aux gens qui en ont : « Ils ne veulent recevoir chez eux en somme que les curieux qui leur apportent du pognon. » (l. 17). En écrivant cela, on voit bien que le narrateur doute de plus en plus à l’idée de rentrée dans cette ville car il sait très bien que n’ayant pas un sous, il n’apportera aucun bénéfice à la ville en y