Lettres persans montesquieu
Premièrement nous allons montrer que Montesquieu nous montre une caricature de la curiosité des Parisiens
Montesquieu reproche aux parisiens leur curiosité, par le biais du persan. Montesquieu montre que la curiosité des parisiens est universelle hyperbole " tout le monde ", " cent ", " mille " qui montrent qu'ils y a beaucoup de parisiens qui le regarde.Curiosité universelle l l3 « vieillards, hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir » tous les âges confondus et tous les sexes ce qui montrent que c'est bien tout les parisiens qui sont curieux. Les parisiens feignent de croire que ce persan vient du ciel l 2-3 « je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel » ils le prennent presque pour un envoyé de Dieu. Les parisiens le dévisagent, ont besoin de sensations fortes pour satisfaire leur curiosité. Montesquieu dénonce le fait que leur curiosité est dérangeante champ lexical du regard : " vu ", " voyait " souvent employé au passif qui montre que le persan subit tous les regards, marque d'impolitesse de la part des parisiens Leur curiosité augmente elle est de plus en plus aiguisée : " lorgnette ", on vend le portait du Persan. L'auteur fait donc une caricature très dure des Parisiens sans s'impliquer directement.
Deuxièmement nous allons montrer que Montesquieu émet un regard ironique sur l'attitude « exotique » des européens Une exagération systématique de la part du persan une acumulation d'oeuphémisme "mes portraits partout" "je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées : "tant on craignait de ne m’avoir pas assez vu", "jamais un homme n’a été tant vu que moi", "troubler le repos d’une grande ville", "extraordinaire" le narrateur est surpris mais prend ceux regard d'une façon ironique
L'auteur est amusé de la situation: "je souriais", "chose admirable", A la fin de la