Repérage et plan comparatif sur le symbolisme

Dans les années 1800, le symbolisme était déjà un courant littéraire présent dans la vie courante. Nelligan et Beaudelaire étaient de leur part des poètes célèbres durant cette époque. Ces deux derniers écrivaient entre autre sur la femme; celles qu’ils croisaient dans leur vie de tout les jours, et les sentiments qu’elles leurs apportaient. « La passante» de Nelligan et «à une passante» de Beaudelaire en sont des exemples. Dans le texte suivant, vous allez pourvoir observer certains extrait de leur poème.

1ere idée principale : Tout d’abord, les auteurs décrivent la femme qu’ils croisent.

1ere idée secondaire sur Baudelaire : En outre, Charles Baudelaire décrit ce qu’il voit de la femme.
Citation : « Agile et noble, avec sa jambe de statue.». (Opposition)

2e secondaire sur Nelligan : De plus, Émile Nelligan décrit la femme comme il l’a perçoit.
Citation : « Mais nul ne l’aimera, nul ne l’aura comprise.». (Répétition de «nul»)

2e idée principale : En effet, les auteurs présentent la femme avec un sentiment de désespoir.

1e idée secondaire sur Baudelaire : De plus, Baudelaire perçoit le regard désespéré de la femme.
Citation : « Dans son œil, ciel livide où germe l’ouragan,». (Métaphore)

2e idée secondaire sur Nelligan : Puis, l’écrivain perçoit la femme de façon déplorable.
Citation : « Qui tourbillonne, tombe et se fane en la nuit;». (Dégradation)

3e idée principale : Ensuite, les deux auteurs présentent la femme de façon majestueuse.

1e idée secondaire sur Baudelaire : D’ailleurs, l’auteur perçoit la femme comme son essence de vie.
Citation : « Dont le regard m’a fait soudainement renaître,». (Personnification)

2e idée secondaire sur Nelligan : Par ailleurs, Nelligan projette la femme d’une façon magistrale.
Citation : « Recélant sa fierté sous son masque opalin.». (Antithèse)