Loi de finance
Lors d’un conseil de ministres présidé par le roi Mohammed VI à Rabat, la loi de finances 2011 au Maroc a été adoptée. Une loi de finances 2011 qui table – en terme de chiffres – sur un taux de croissance de 5 %, un taux d’inflation de -2 % et un déficit budgétaire contenu à 3,5 %.
Les grandes lignes du budget 2011 ont été présentées par le ministre marocain de l’économie et des finances, Salaheddine Mezouar. Selon lui, la loi de finance 2011 est respectueuse de la préservation de la stabilité financière et de la protection du tissu économique et social du Maroc. Elle s’inscrit dans le cadre du processus de développement initié par le roi Mohammed VI. Un processus défini par le souverain marocain lors du dernier discours du trône.
Les priorités de la loi de finances 2011 : soutenir la croissance, diversifier l’économie, développer les politiques sociales, améliorer la compétitivité de l’économie marocaine et intégrer les PME dans le tissu économique.
Un projet, selon le ministre de l’économie, loin d’une politique d’austérité puisque aucune baisse de salaires ni révision des orientations sociales ne sont prévues. D’autres projets avec cette loi de finances 2011 ont été approuvés par les ministres : faire de Casablanca un grand pôle financier régional et international en renforçant ses capacités économiques, ou encore la création de 2 zones franches d’exportation à Kénitra et à Nouaceur.
Rapport-économique et social
Dans le domaine social, salahdine Mezouar a souligné de que le secteur de l’enseignement a connu un bénéfice d’in effort financier sans précédent, ajoutant que l’avenir est tributaire de notre capacité d’améliorer le niveau de nos ressources humaines à travers la reforme de