ma nouvelle
Dans l’après midi je fus enfin arrivé a la destination qui m’avait été exigeais. Etant envoyé chez monsieur Michou comme précepteur, je redoutais l’atmosphère qui pouvait bien régner dans sa demeure. Mais ces inquiétudes disparurent dès le premier contacte avec madame Michou, la maitresse de ces lieux. Pour un homme venant d’une famille modeste de sept enfants, je fus agréablement surpris en étant accueilli avec chaleur et amitié dans une famille bourgeoise. Ma première attention fut portée sur un tableau fixé dans la salle à manger, mais pour lesquels je n’avais aucune attirance, ce n’était qu’un portrait d’une femme attristé. Au diné, cette famille me manifesté beaucoup de délicatesse et de bonté et pourtant je ne fessais attention qu’a madame Michou, j’épiais tous ses mouvements. Mon esprit romanesque s’enflamma à sa présence. A la fin du repas, l’abbé Michou alla coucher ses enfants. J’étais enfin seul avec elle au rée de chaussé, j’en profitai pour lui dévoilé mon attirance. Pour ce fais, je lui pris sa main mais soudain j’entendis sourdement un ricanement diabolique. Madame Michou n’avait pas l’aire de l’avoir perçut, j’étais donc le seul à l’entendre. De plus, elle n’avait pas réagit a mon acte envers elle. Que devais-je comprendre ? Elle avait soit une attirance envers moi, soit un renit totale de mes