Malaise dans la civilisation
Sigmund Freud, médecin autrichien du XIX et du XXème, fondateur de la psychanalyse, nous offre dans Malaise dans la civilisation son interprétation du bonheur. En effet, il est aujourd’hui difficile d’analyser le sens du mot bonheur sans oublier certain aspect de la notion philosophique. Comme le dit Freud au début de l’extrait, le bonheur aspire à une bipolarisation, car il est à la fois positif sous certains aspects comme négatif sous d’autres. Nous tenterons donc d’expliquer pourquoi Freud dans son ouvrage nous présente le bonheur comme quelque chose recherché par les homme, malgré les dangers qu’il incombe. Pour ce faire, nous étudieront tout d’abord le point de vue de la doxa dans le terme de bonheur, puis nous verrons la position de Freud, tout en nous intéressant aux causes de cette éternelle recherche du bonheur.
La doxa nous présente le bonheur comme une vertu, souvent conçue comme une fin ultime de la vie, l’aboutissement d’entreprises faites par les hommes afin que leurs intérêts désirs soient comblés. C’est en effet ce que nous explique Freud dès la seconde ligne du texte. La notion de bonheur, en son sens premier, exclut les sensation de douleur et de déplaisir. Elle est en principe fondée sur le plaisir et le bien être. Il est vrai qu’on ont doit le bonheur à la satisfaction d’avoir accomplie tel ou tel besoin, comme désir. « Les hommes aspirent au bonheur, ils veulent devenir heureux et le rester » par cette phrase, Freud nous montre à quel point le bonheur occupe une place prépondérante dans la vie des homme, leur vie étant donc supposée condamnée à courir derrière cet état de bonheur. C’est ainsi qu’on peut assimiler la formule « devenir heureux » à un processus, qui à force de satisfaire des besoins, comme des pulsions, amène à fortiori à un était de bonheur. Freud nous présente donc le bonheur, tout comme la doxa le fait, comme