Nos désirs nous empêche-t-il d’agir moralement ?
Le désir ne ressemble en aucun point a un besoin car ce qui caractérise un besoin et que si il n’est pas satisfait la simple conséquence est la mort. Alors que si je ne satisfais pas un désir je ne meurs pas pour autant bien qu’un désir peut devenir grâce à l’imagination si puissante qu’il peut provoquer s’il n’est pas satisfait dépression très forte. Le désir est culturelle et humain, comme le désir sexuelle qui si il n’est pas satisfait peut provoquer la disparition de l’espèce mais l’individu seul ne mourra pas pour autant donc le désir non satisfait ne sera pas source de mort pour un individu mais peut être source de souffrance et il ne reflète pas souvent la réalité de la jouissance lorsqu’on l’obtient. Il s’accompagne donc d’un d’un sentiment de manque et de privation. Une chose nous empêche d’agir sur un objet lorsque cette chose va à l’encontre de cet objet c’est-à-dire quelle le contredit ou que les conséquences de cette chose vont à l’encontre de l’objet. La moral et un ensemble de loi qui permette de vivre ensemble. La morale est l'ensemble des devoirs qui s'imposent à l'être humain, en tant qu'être raisonnable, et lui commandent le respect de l'humanité, en lui comme en autrui. Il faut distinguer les devoirs moraux, universels et absolus, des devoirs sociaux, variables et relatifs. Chaque homme est constamment submergé de désirs, il n'en a jamais assez et c'est pour cela que « le désir est l'essence même de l'homme » comme l'affirmait le philosophe hollandais Spinoza. Avec tous ces désirs que l'homme a en lui, il est impossible qu'il n'en ait pas d'immoraux et donc, la plupart de ses morales iraient contre la volonté de ses désirs. Dans une vie il y a plusieurs contraintes liées aux désirs. Principalement, celle de ne pas pouvoir acquérir ce que l'on désire véritablement, mais aussi celle de l'obtenir. Notre relation et surtout notre dépendance au désir sont alors assez ambiguës. Car, si le désir