Médiation avancé - mnd721
Médiateur et avocat : avantage ou inconvénient?
Remis à
Me Jean Marois
Dans le cadre du cours
Médiation avancée I
MND 721
Par
Julie
Université de Sherbrooke
Le lundi 3 décembre 2007
Table des matières
TABLE DES MATIÈRES 2
INTRODUCTION : PARCE QU’IL FAUT COMMENCER QUELQUE PART. 3
DIFFÉRENTS CONCEPTS : DÉFINITIONS PERSONNELLES. 3
PROBLÉMATIQUES : TROUVER LE MEILLEUR DES DEUX MONDES. 6
MÉDIATEUR ET AVOCAT 6
MÉDIATEUR NON JURISTE OU AVOCAT PRDISTE 7
LES PISTES DE SOLUTIONS 9
LA FORMATION : DE QUI? 9
PROFESSIONNALISATION : ON Y REVIENT! 11
CONCLUSION : LE MOT DE LA FIN. 11
Introduction : parce qu’il faut commencer quelque part.
J’ai eu beaucoup de difficulté à décider de ce dont j’allais parler dans ce texte. Je suis partie de tous les côtés, j’ai eu des tonnes d’idées mais aucune qui ne m’inspirait vraiment. J’ai cherché sur internet et dans mes anciennes notes de cours et finalement, je me suis fixée… enfin, je crois! Depuis le début de ma formation en PRD, il y a un sujet qui revient très souvent. Une sorte de clivage entre ceux-ci et ceux-là. Même les professeurs ne peuvent s’empêchés de nous confier de quel côté ils se trouvent, alors cette appartenance doit bien faire une différence. Je veux bien sur parler du fait d’être ou non un médiateur juriste.
Est-ce que le fait d’avoir une formation juridique peut influencer le type de médiateur qu’on sera? Est-ce qu’au final, ce sera un avantage ou un inconvénient? Si l’on se place du côté de la médiation comme justice transformative, quel seront les biais du juriste qui jouera ce rôle? Facilitateur, évaluateur? Et ou se place la déontologie dans tout ça? Je me confesse tout de suite, j’ai fait le BAC en droit et l’école du Barreau. Il ne me manque que le stage pour être une véritable avocate mais lorsqu’il s’agit de penser en juriste, je suis championne.
Différents