Nouvelle de francais
Un gangster dans les favelas.
2ndeA
Je voyais Juan Jose Rodriguez être poursuivit dès le deuxième étage d’une maison deux heures après le business qu’on avait fait dans les favelas du Brésil. Je l’ai poursuivis avec prudence jusqu’à que j’ai vu un camion avec 10 hommes armés c’était l’armée brésilienne. Ils avaient sur leurs têtes un casque, un gilet pare-balles, une M- 16 que j’ai reconnu à cause d’avoir dépensé mes 15 dernières années de ma vie à vendre des armes et des gants. Il savait déjà que 10 policiers étaient en train de le poursuivre. Aussi que j’étais la seule personne qui lui pouvait aider mais la maison que tout le monde connaissais était loin de lui et il ne savait pas que j’étais plus proche de lui que ce qu’il pensait. Les policiers avaient déjà atteint sa maison. José courait de toutes ses forces; il prit les escaliers qui portaient vers le toit. Il commença à sauter de toit en toit mais ses pas s’entendaient car le sol était de fer. Ses hommes étaient tout le temps derrière lui mais malheureusement l’armée était plus entrainé pour ce type de situation donc ils tueront les hommes de José facilement. Il était seul mais il courait pour se sauver. Il entra dans une dernière maison en souhaitant de s’échapper; les policiers n’avaient pas une très bonne vision à cause des chemises, pantalons qui pendaient sur des cordes. Jose était en train de descendre vers la rue, il prit une voiture qui avait été garée par ses alliés. Certaines rues étaient plein de policiers, il allait vite et prenait les routes où il n’y avait pas des policiers. Mes hommes aussi le poursuivaient sur des motos, je ne voulais pas qu’il soit pris. J’avais donné l’ordre de l’aider.
José était nouveau dans ce négoce. Nous étions pareils en presque tous les aspects. Il était ambitieux, avare, égoïste mais surtout prudent. Il savait comme moi ce qu’il voulait, où il voulait arriver et comment le faire. Il savait aussi déjà qui était le boss dans ce négoce,